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Interview d'Otzeki.


Otzeki : Mike Sharp (chant texte ) / Joel Roberts (clavier arrangements)

The Walkman: Salut Otzeki !

Otzeki: Salut enchanté ( rires ) !


Pour commencer, quand avez vous fait de la musique ensemble pour la première fois ?

Quand nous avions 11 ans.

Et d’ou viens ce nom assez original ? Ça vient d’un petit livre rouge. Un livre de votre enfance peut être ? Non, d’un pub de Finsbury Park qui s’appelle The Lancet.


Beaucoup de gens parlent de vous comme des artistes minimalistes, êtes vous d’accord ? Joel: En effet, c’est une grande source d’inspiration pour nous deux. Donc on pourrait dire ça oui.

Mike: Mais nous nous sommes éloignés progressivement de ça. Maintenant c’est plus le fait d’être à deux qui nous inspirent même si ce que nous nous interdisons reste essentiel dans notre création. On ne peux pas pas tout joué mais nous avons besoin de contrôler certaines choses notamment dans le chant.


Quelles sont vos influences, vos modèles ?

Mike: C’est plutôt large en ce moment, mais concernant le minimalisme quelque chose comme Philip Glass. Dans le domaine du chant, on regarde plus des choses réfléchies, comme Otis Redding ou Neil Young…

Joel: Beaucoup de musiques électroniques aussi, on écoute beaucoup de techno des groupes différents…

Mike: cite en un qu’on a écouté récemment ? Joel: Il y un gars qui s’appelle Jean On earth (l’orthographe n’est pas sur car nous n’avons malheureusement pas retrouvé l’artiste) , basé à Berlin, qui fait du Garage électro.


Vous avez fait beaucoup de concerts en France et en Bretagne, par exemple pendant la Fête de la musique à rennes, il y a t-il une raison particulière à ça ?

Oui, on est juste un pion au milieu de tous les artistes, c’est juste arrivé comme ça c’était stratégique (rires). On aime bien Rennes, c’est génial. Vous étiez la en juin ?

Oui c’était un beau concert !

Génial ! Il y a plein de scènes différentes dans la ville c’est ça ?

Oui c’est ça !

La fête de la musique c’est une super inspiration. Depuis quand ça existe ?

Depuis les années 80 !

Ça devrait exister a travers le monde entier, ça n’existe pas en Angleterre par exemple.


Votre dernier projet est sorti il y a un an ( Binary Childhood avril 2018), quels sont vos projets pour le futur désormais ?

On travaille sur un deuxième album, c’est notre obsession en ce moment.

Est ce que il y a une date de sortie ?

En ce moment on cherche plus à le finir parce que tout est la, toutes les chansons sont la. On a commencé avec cinquante chansons et on a enlevé enlevé et maintenant le plus difficile c’est d’arriver au moment ou on se dit « c’est vraiment celles ci qu’on veut sortir ».


Vous avez fait des concerts avec Her, un groupe rennais, quelle est votre relation avec eux ? On était amoureux. On les a rencontrés en Allemagne, mais on ne va pas rentrer dans les détails ( rires ) Mais finalement ils ont arrêté, quelle triste histoire…


Vous parlez de beaucoup de sujets et problèmes dans vos chansons et particulièrement du Brexit, quelle est votre avis car rapport à ça ?

Vraiment ? Ou est ce que vous avez vu ça ?

On a vu ça dans vos chansons et lors de nos recherches…

Oui c’est ridicule mais ça n’a rien à voir avec la musique. Peut être dans notre subconscient mais vous savez on peut tout attribuer à l’inconscient.


Comment vous trouvez le festival ici à Carelles ?

C’est très bien jusqu’ici même si ça n’a pas encore commencé, c’est très posé, plein de bonnes ondes.


Merci à vous d’avoir répondu à nos questions et bonne continuation ;)


L'interview est disponible sur soundcloud, youtube et facebook.

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